Tu te sens différente et en décalage depuis toujours ? Et si tu étais NeuroAtypique ?

Tu t’es souvent sentie “bizarre”, “trop sensible”, “trop intense”, sans pouvoir mettre de mots sur ce décalage. Tu pourrais bien être neuroatypique – et personne ne t’a jamais aidée à le comprendre

1. Le masking : pourquoi les femmes passent sous les radars

Le camouflage social est une stratégie d’adaptation, souvent inconsciente, chez les femmes neuroatypiques. Elles imitent, s’ajustent, se suradaptent… jusqu’à l’épuisement. Résultat : le TDAH, le HPI, ou l’autisme léger sont rarement détectés avant 30 ans.

2. Les manifestations invisibles

Hyper-empathie, pensée en arborescence, difficulté à supporter certaines stimulations, procrastination massive, besoin de sens profond, impression d’être “hors norme”.

3. Le diagnostic : une étape de légitimation

Même si le diagnostic n’est pas obligatoire, il peut apporter soulagement et compréhension. Il permet aussi d’accéder à des aménagements (RQTH, formations adaptées, coaching neurodivergent).

4. Et après ? L’art de se réconcilier avec soi

Apprendre à se connaître réellement, à poser ses limites, à identifier ses besoins sensoriels et cognitifs. Bref, reprendre les commandes.

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Non, tu n’es pas “trop”. Tu es simplement construite différemment. Et ce n’est pas un défaut, c’est une richesse à apprivoiser.